La lumière intense pulsée (lampe flash) contre la couperose, les taches brunes, le relâchement cutané et les poils disgracieux

Fonctionnant selon le même principe que le laser, la lampe flash ou lumière intense pulsée agit à la fois sur les troubles pigmentaires (rougeurs, érythrocouperose, taches de vieillesse et autres hyperpigmentations post-inflammatoires) et sur la qualité de la peau (densification, petites cicatrices, pores dilatés, épilation…).

Comme le laser, la lumière qu’elle émet est absorbée par des “cibles” (chromophores), qui peuvent être le pigment rouge de l’hémoglobine ou les pigments foncés du poil, puis transformée en chaleur, laquelle provoque l’éclatement des parois vasculaires ou des bulbes pileux.

Le rayon lumineux est dirigé sur la rougeur, la tache ou le poil, qu’elle fait disparaître.

Ce même effet thermique permet aussi d’améliorer la densité et la qualité de la peau, en stimulant la production de collagène.  

La séance est peu douloureuse. Une brève sensation d’échauffement est ressentie. Un œdème réactionnel peut aussi survenir. Aucune éviction sociale n’est nécessaire, les patients peuvent reprendre leur activité professionnelle dès la fin de la séance. Le maquillage est possible immédiatement après.

L’avantage de la lampe flash est qu’elle peut être utilisée en même temps que d’autres techniques de médecine esthétique.

Elle ne peut en revanche être pratiquée que l’hiver, sur une peau non-bronzée, et ne remplace pas le laser lorsque les lésions sont importantes, en cas, par exemple, d’angiome plan.

Les autres contre-indications de cette technique sont l’utilisation d’autobronzants et la prise de bêtacarotène.

Plusieurs séances sont généralement nécessaires, ainsi qu’un entretien annuel pour le traitement du vieillissement.

Les soins à la lampe flash sont prescrits par le Dr Roger au cas par cas, avec le patient. Pour un effet optimisé, d’autres techniques de médecine esthétique peuvent y être associées, telles que les injections d’acide hyaluronique ou de Botox®, les fils résorbables, etc. A voir avec le médecin.

Pour toute question, n’hésitez pas à contacter le cabinet, nous vous répondrons avec plaisir.