Médecine anti-âge, la french touch
Très prisés à l’étranger, les soins de médecine esthétiques tels qu’ils sont pratiqués en France ont pour spécificité de préserver le naturel et d’être aussi efficaces que discrets. D’où l’appellation de "French aesthetic touch" (recherche du naturel).
Qu’il s’agisse d’injections ou de pose de fils tenseurs, les techniques de médecine esthétique françaises respectent les expressions et la morphologie des patients. L’objectif des praticiens (à la demande de la quasi-totalité des patients) est que les effets des traitements "ne se voient pas" ou plutôt "se voient sans se voir", qu’ils soient réels mais insoupçonnables. Une équation délicate que les médecins esthétiques qualifiés résolvent avec dextérité.
La toxine botulique (Botox), minutieusement dosée et injectée à des endroits extrêmement précis, laisse ainsi le front mobile et apporte un coup de jeune léger en rehaussant le regard et la commissure des lèvres. L’utilisation de plusieurs types d’acide hyaluronique selon les zones, permet de remodeler le visage et de jouer avec ses volumes en douceur, discrètement mais efficacement. Ce qui ne se fait pas dans de nombreux pays, même au Brésil.
La valeur ajoutée française, cette fameuse "French touch", vient de ce qu’en France, les médecins esthétiques ne tombent pas dans l’excès et que les patients le savent. La plupart des soins pratiqués dans notre pays s’inscrivent dans un protocole de prise en charge globale du visage ou de la silhouette. Les traitements prescrits sont associés, optimisés de façon à se "booster" les uns les autres. Ils visent l’excellence, pour donner les meilleurs résultats. Un gage de sérieux et de rigueur appréciable à l’heure où les techniques de médecine esthétique deviennent de plus en plus sophistiquées, exigeantes et performantes, et sont de plus en plus demandées, de part et d’autre de la planète.
Le Dr Roger est très attaché à cette "French touch" qu’il applique au quotidien. Ses soins ont des effets naturels, respectueux de la morphologie de chaque patient. Si une technique ne lui paraît pas appropriée ou risque selon lui de produire des effets n’allant pas dans ce sens, il ne la pratique pas.
Dernière modification : 19/11/2018
